Le trésor

Le trésor

Un corps de femme ma donner la vie,
Il a fait de moi se que je suis,
Et aujourd'hui, un autre corps est la,
Beau, doux, immobile, et je ne sais pas,
Comment le toucher, comment l'aimer
Comment lui faire autant de bien qu'il m'a fait
C'est étrange, un sentiment venu de l'intérieur
Un moment d'intimité, au fond de moi une chaleur
Qui devient de plus en plus fort quand il me touche
Je le caresse des yeux, n'osant le toucher de ma bouche
Il me fait rêvé, m'enivre de douceur et de chaleur
Il me laisse sans voix, c'est trop beau c'est une erreur
Alors j'ose le touché, mon dieux je doit rêver
Ca ne peut pas être la réalité, ma réalité
Il est doux et il est sous mes doigts, il ne disparaît pas
Je ne rêve pas il bouge, il sent bon, son coeur bat,
Qui sait peut être que demain il ne sera plus la
Alors je me prends d'une folie, ma bouche je pose
Timidement les yeux fermés, mes lèvres se pose
Sur cette peau si douce, et il est encore la
Il ne fuit pas, il est prostré sans nulle voix
Dieux que la femme est le chef d'oeuvre de la nature
Une étoile dans le ciel, un nectar du fruit le plus pur
Je rêve ma bouche est posé sur sa joue, je n'y crois pas
Je n'y crois plus, je l'embrasse plusieurs fois pas à pas
Elle me sourie, comme une invitation au plus beau des voyages
Ma bouche je pose sur la sienne, de divague, mes yeux se ferme
Sa langue caresse mes lèvres, j'ouvre ma bouche
Nos langues se mélangent, dans une danse farouche
J'oublie le monde, et ses malheurs, je suis au paradis
Je l'embrasse tendrement et elle me sourie
Alors ma main je pose sur son cou, et descend
Dans une course lente, ma peau la ressent
Elle a cette odeur, propre au femme qui vous fait tourné la tête
Se qui fait de nous des proies faciles, mais elles sont si bien faite
Alors ma main s'aventure, puise dans cette douceur le courage...]

[...d’avancer

Elle passe entre ses seins, et hésite pour choisir se coté
Choix cornélien si il en est, ils sont si parfaits
Droite, non gauche le coté du coeur du quel je suis aimé
Il passe sur son seins en l'effleurant sans vraiment le touché
Déjà son téton pointe, il touche ma main, et excite ma pensé
Le sein gauche, maintenant le droit, pareille uniformité
Elle est un ange, construite dans la grâce et la beauté
Mais je ne peux résisté, comme un enfant qui ne doit pas toucher
Ma main s'aplatis doucement sur se corps doux et dénudé
Elle a senti mon contact, à telle aimé?? Peut être
Je le saurais après, j'en frémi de tous mon être
Ma main descend encore et toujours, et déjà j'y pense
L'inaccessible, le nectar de la plus belle décadence
L'opinion que tous jeune homme cherche à atteindre un jour
Je n'y ai jamais été aussi prés, et cela par amour
Mais je n'ai jamais été aussi loin, dieux que je ventre plat
Et long a traversé, sa douceur m'enivre, mais j'en suis las
L'objet des mes désirs est là à porté de main et pourtant
Quand ma main en a enfin l'occasion et remonte automatiquement
Comme repoussé par quelque chose qui refuse de m'offrir son secret
Ma langue entame alors se long périple, qui me semble infini
J'avais découvert la douceur, j'en découvre maintenant le goût
Et quel goût sucré, jamais ma langue n'a été aussi libre de tout
Emoustillé par le goût doux et sucré de sa peau, mes papilles s'active
En perde la raison, et se laisse envahir par une chaleur attractive
Ma bouche je retrouve collé à son corps, et je ressens le plaisir
Quel mot étrange, mais si doux en entendre, ça ne devrai jamais finir
Ma langue passe ses seins avec succès, et entame son ventre sans...]

[...tremblé

Là ou ma main avait hésité, ma langue elle semble y être guidé
Elle s'attarde un instant dans son nombril, qui siège la au centre
Puis reprend ça course, vers le but ultime de son corps au fond de...]

[...son ventre

Que j'ai honte, rabaissé se corps de femme, a cette parti de son corps
Que les hommes ayant connu cela me pardonne encore
Et ma langue continue son inexorable effort
Vers le plus beau, le plus tendre, le plus inaccessible de tous les...]

[...trésors

    Pierre-Alain